Pourvu que ça dure...

Retour de ton spectacle… Et… Merci…

Entre le rire et la tendresse, c’était un beau voyage… Je suis nostalgique d’une époque que je n’ai pas connue, mais dont toi comme tant d’autres êtes les témoins…

Et il faudrait le dire aux gens, ton talent d’illusionniste… Ton talent tout court. Celui qui me fait penser à ce que disait Coluche, il faut en passer des heures de travail pour faire croire aux gens que la connerie est spontanée… Le premier qui te descend, je l’enterre vivant ! Et je ne suis pas une violente… Mais dans un monde de plus en plus glauque, il faudrait au moins être conscient et ne pas salir les bijoux que l’on croise…

J’aurais aimé attendre après le spectacle. Mais tu as dit que tu devais partir rapidement, et je n’étais pas seule. Tant pis. Une autre fois… J’irai te chercher ailleurs. J’aimerais te trouver là, quelques secondes…

Merci de nous présenter Marie… Merci pour ce que tu partages. Merci de planter ton cœur dans l’arène…

Rire, rire, parce que la vie est une fête, même si la gueule de bois est parfois douloureuse… Et puis à la fin de ton spectacle, l’envie intenable de te garder encore un peu. Les larmes qui montent aux yeux. Décalées ? Pas tellement je crois…

Le souvenir que tu m’as sauvé la vie, avec tes mots, l’an dernier. Juste ça. Je te dois seulement ça… Ca ne change rien pour toi. Mais ça explique l’amour, l’affection et la fidélité…

Je t’aime. Ecrit avec toutes les lettres.